L’exercice 2013 s’est terminé pour l’Association par une mauvaise nouvelle. Le budget des cinquièmes journées œnologiques de Zakopane, reprenant les données comptables des quatrièmes journées, prévoyait d’arriver au même équilibre qu’en 2011, grâce à des aides financières identiques et grâce au remarquable travail bénévole de tous les intervenants. Le soutien financier de l’Université Jagellonne a été renouvelé intégralement. Malheureusement, la subvention accordée par la collectivité territoriale sollicitée a été de moitié inférieure à la subvention versée en 2011.
L’Institut est donc gravement touché financièrement. La situation est grave mais pas désespérée, si les adhérents et amis d’ICEO se mobilisent pour permettre à l’Association d’assainir sa trésorerie.
Tous les observateurs, qui découvrent sur le terrain le travail d’ICEO, reconnaissent la pertinence des actions de l’Institut et sont admiratifs des résultats obtenus dans la durée avec si peu de personnes impliquées. Les développements économiques et scientifiques sont de plus en plus mondialisés. L’accroissement, la constance et l’excellence des actions de coopération internationale sont donc des impératifs.
Une récente étude, faite pour les Restos du cœur, a montré que pour effectuer un travail équivalent à celui que font les bénévoles des association philanthropiques, l’État devrait mobiliser une somme huit fois supérieure. Ainsi, lorsque les responsables d’ICEO se regardent, ils peuvent se désoler, mais lorsqu’ils se comparent, ils peuvent se consoler.
Pour ICEO, dès le début de l’année 2014 sonnera l’heure de vérité.
Attention dans l’article ci-dessous, qui est un article récupéré, les liens avec les anciens articles du site web d’ICEO sont inopérants
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